Voilà, nous y sommes. Dans la revue du web du 15 mai dernier, nous annoncions que la Grèce allait bientôt être à court de liquidités. Le bankrun – la panique bancaire – est en train de gagner le peuple hellène.
Christophe Vereecke nous avertissait dès le mois de mars que le printemps et l’été risquaient d’être chauds : « Le délai accordé au Grecs nous amènera tant bien que mal jusqu’à l’été (fin juin) mais il est fortement recommandé de vous protéger à l’approche de l’été car cet année le soleil sera particulièrement nocif ». (cf article ici )
Face au risque de «Grexit», des Grecs retirent leur argent des banques. « Jeudi 28 mai, pas moins de 500 millions d’euros auraient été prélevés en une seule et même journée, selon les derniers chiffres sur les retraits aux guichets », nous informait RFI dans son édition du 30 mai (cf. article ici ). Le cauchemar chypriote plane donc sur la Grèce.
Au niveau individuel, il existe pourtant des solutions en cas de faillite bancaire. Les Grecs qui disposeraient d’une VeraCarte auraient toujours du cash et en cas de bankrun, si les distributeurs sont à court de billets, les possesseurs de la VeraCarte pourraient continuer de payer dans les commerces (nombreux) où la MasterCard est acceptée (puisque la VeraCarte en est une). Avec une réserve de liquide adossée à de l’or physique réel stocké hors-circuit bancaire, en zone franche, le capital associé au compte VeraCarte est à l’abri, il ne risque pas d’être spolié.
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