Malgré le cours de l’or et les profits dégagés, l’Afrique bénéficie de peu de retombées des bénéfices. Dans le collimateur, des sociétés minières étrangères exploitant des mines d’or sur le territoire africain.
Après le Ghana, le Sénégal, la Guinée et le Burkina Faso, c’est au tour de la Côte d’Ivoire – qui produit 14 tonnes par an – de vouloir imposer une taxe de 10% aux minières qui exploitent les filons aurifères du pays. Pour info il s’agit de l’australienne NewCrest Mining, de la canadienne La Mancha, de la sud-africaine RandGold, d’Occidental Gold et Endeavour.
Cette décision est venue suite à un vent de protestation qui souffle en Afrique. En effet, le continent retire très peu de bénéfice de l’exploitation des ressources sur son territoire.
Autre problème soulevé par l’exploitation minière, la rareté des ressources. Celle-ci provoque une exploitation de plus en plus invasive, avec des procédés de plus en plus coûteux.
C’est pourquoi, en vertu des problèmes d’instabilité géopolitique auxquelles elles sont en proie et qui peut amener à une volatilité du cours de la minière, des dégâts écologiques et humains engendrés par l’exploitation d’or, et de l’épuisement à venir des mines d’or, sur loretlargent.info, nous déconseillons d’investir en bourse dans des minières-or et privilégions plutôt l’or physique, déjà extrait, sous formes de pièces.