Comme le cours de l’or, les fluctuations des prix du diamant ont une incidence sur les conflits en Afrique. C’est ce qui ressort d’une étude menée par 2 Français et un Suisse parue dans le n° 107 de l’American Economic Review, « This Mine is Mine ! How Minerals Fuel Conflicts in Africa » (source Le Monde).
La meilleure façon de cautionner ce business des « diamants du sang » (comme en son temps « l’or sale » dont était issu le Krugerrand dans les années 70), c’est de s’approvisionner auprès de professionnels réputés, et certainement pas des vendeurs dont la seule vitrine sont les réseaux sociaux !
La campagne du géant du diamant de Beers a bien fonctionné auprès des « millenials », la génération née entre les années 80 et 2000. En 2016, les jeunes amoureux ont offert du diamant à leur amoureuse, boostant les ventes de 4,4% ! Avec le slogan «Real is rare, real is a diamond», le diamant naturel a encore de beaux jours devant lui.
Le diamant de synthèse aussi d’ailleurs, mais plus dans la science que dans l’investissement !
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