Publicité

Le  sous-sol africain regorge de diamants. Mais la production, qui n’a jamais été aussi élevée en 2016, est en train d’atteindre un pic. Les sociétés minières ont beau déployer tous les moyens pour explorer de nouveaux sites, la production devrait décliner de 1 à 2% tous les ans jusqu’en 2030 pour se tarir complètement.

Inutile de dire que la raréfaction de l’offre est d’ores et déjà anticipée par le marché. Mais même avec la fameuse stratégie du robinet qui consiste à ouvrir et à fermer les vannes de la production de diamant afin d’en réguler les prix, ceux-ci vont monter très haut d’ici une quinzaine d’années.

Le diamant de synthèse peut-t-il se substituer au diamant naturel ? Dans la joaillerie, il peut probablement constituer une alternative « éco » valable auprès de la jeune cible américaine. Mais pas dans le marché de l’investissement où seules les vraies pierres précieuses issues des mines sont certifiées et qualifiées selon des critères stricts. C’est un peu comme si l’on vous proposait d’investir dans de l’or 14 carats (50% d’or pur).

Lire l’article dans son intégralité sur DiamondSpot.com

Publicité

 

 

 

Article précédentRevue du web du 28/07 : hausse de l’or, cryptomonnaies fever et Attali
Article suivantEpargne : et si on diversifiait le Napoléon ?
Jean-François Faure
Jean-François Faure. Président d’AuCOFFRE.com. Voir la biographie.

LAISSER UN COMMENTAIRE

Veuillez entrer votre commentaire !
Veuillez entrer votre nom ici