Comme pour l’or, il devient de plus en plus difficile d’extraire du diamant des entrailles de la Terre. Navires super puissants pour sonder le fond des océans, mines souterraines de plus en plus profondes, les procédés de production sont de plus en plus invasifs et onéreux. Confrontés à cette problématique, les sociétés minières investissent dans l’innovation numérique. Ces défis à la fois géologiques et technologiques pèsent sur les prix du diamant.
Diamant : une production stable malgré tout
L’activité de nouvelles mines au Canada et en Afrique du Sud ouvertes en 2016 ont réussi à combler le déficit de production des mines fermées, notamment en Russie et au Zimbabwe. Les producteurs ont réussir à maintenir une certaine stabilité des prix du diamant en appliquant la « stratégie du robinet » (qui consiste à ouvrir et à fermer les vannes de production pour écouler ou stocker les diamants au moment opportun).
Des ressources pas infinies !
Toutes les matières premières sont en train de s’épuiser et le diamant en plus n’est pas recyclable ! Même si la production des nouvelles mines affichent une belle santé, à long terme, la production globale de diamants va coûter de plus en plus cher dans un premier temps puis se tarir. Ce facteur va bien sûr peser sur les prix à moyen et à long terme, d’ici 20 ans selon les experts. Ce qui est un produit rare et qui va le devenir de plus en plus est dès aujourd’hui un très bon placement d’avenir.
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