« Jusqu’à présent, la seule alternative à l’or, c’était les obligations américaines. Mais voilà que Henry Paulson, le secrétaire au Trésor, promet de dépenser des sommes astronomiques pour relancer l’économie. Autrement dit, les investisseurs se disent que l’on va faire marcher la « planche à billets » de la dette et cela ne leur donne guère envie d’acheter des obligations. L’or retrouve tout naturellement des couleurs. »
Frédéric Lasserre, responsable des études sur les matières premières à la Société générale. Lu sur LEMONDE.FR