D’un côté nous avons nos « amis » banquiers qui nous poussent à souscrire des assurances vie, ne sachant plus quoi nous proposer. De l’autre nous avons des États qui peinent à financer leurs dettes présentes et à venir. Allemagne, Pays-Bas, Royaume-Uni, Italie, Espagne, Belgique sont touchés, bientôt ce sera au tour de la France. Les dettes publiques sont financées par l’émission d’obligations d’Etat, dont l’assurance vie est un support. A l’approche d’un krach obligataire qui ne tardera pas d’arriver, c’est là que les choses se compliquent pour le français moyen.
Nous lisons sur Moneyweek à ce sujet : « les français sont très exposés au marché obligataire, via les contrats d’assurance vie en euros. L’assurance vie est, en France, le placement préféré. « Vingt millions de contrats, un ménage sur deux y souscrit, 1200 Mds€ de fonds gérés, presque dix fois plus que ce qui est déposé sur les Livrets A », note Emmanuel Kessler sur France Info. Avec un krach obligataire en perspective, rien n’incite à s’intéresser à l’assurance vie, qui garde ses contraintes (comme la durée de détention minimale de huit ans pour pouvoir bénéficier de l’exonération d’impôts sur les gains) et perd son principal atout, un rendement élevé. Les épargnants ne sont pas dupes : un mouvement de décollecte a été entamé en 2008. »
Au moment du choix de votre futur placement, souvenez-vous de l’or qui est le seul à tenir ses promesses depuis presque dix ans.
Bonjour,
Je pense que l’assurance vie saura être protecteur en cas de crise mais l’or a toujours été un placement refuge plus que l’assurance vie, l’immobilier ou les actions.
Bonne journée.
Daniel.